Pourquoi le sucre blanc est un poison ?
Mina Laramée2024-02-22T07:01:47+00:00Pourquoi éviter le sucre blanc est-il bon pour la santé ?
La surconsommation de produits sucrés est devenue un enjeu de santé publique. Le sucre blanc consommé en trop grande quantité a des effets néfastes sur l’organisme. Il favorise l’apparition de graves maladies hépatiques, augmente le diabète et les chances de contracter certains types de cancer. Depuis 15 ans les études scientifiques s’accumulent et pointent du doigt les conséquences d’une alimentation trop sucrée.
Vous mangerez bien une petite douceur ?
Depuis les années 50, la consommation de produits sucrés s’est envolée pour atteindre les 30 kg en moyenne par Français par an alors qu’elle n’excédait pas 1 kilo en 1850. Sodas, confiseries, barres aux céréales, la liste n’en finit pas de s’allonger. De l’exceptionnel à l’exagération, consommer des aliments et boissons sucrées a totalement modifié nos habitudes diététiques. Mal nous en a pris, car si un chocolat chaud ou une pâtisserie peuvent consoler un moral en berne ou nous récompenser, ils sont également très efficaces pour mettre à mal notre santé. Le sucre représente aujourd’hui 25 % de nos apports énergétiques, alors qu’il devrait ne devrait pas dépasser 5 %.
Vous mangerez bien une petite douceur ?
Depuis les années 50, la consommation de produits sucrés s’est envolée pour atteindre les 30 kg en moyenne par Français par an alors qu’elle n’excédait pas 1 kilo en 1850. Sodas, confiseries, barres aux céréales, la liste n’en finit pas de s’allonger. De l’exceptionnel à l’exagération, consommer des aliments et boissons sucrées a totalement modifié nos habitudes diététiques. Mal nous en a pris, car si un chocolat chaud ou une pâtisserie peuvent consoler un moral en berne ou nous récompenser, ils sont également très efficaces pour mettre à mal notre santé. Le sucre représente aujourd’hui 25 % de nos apports énergétiques, alors qu’il devrait ne devrait pas dépasser 5 %.
Une vie sans sucre est-elle possible ?
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Le sucre blanc : un faux ami pour l’organisme
Nous abusons du sucre blanc obtenu à partir de la canne à sucre ou de la betterave et sans intérêt pour l’organisme. De nombreuses études médicales montrent qu’il est néfaste pour le métabolisme humain. S’il n’est pas immédiatement brûlé par une activité physique soutenue, il se transforme en graisse avec, à la clé, un risque de surcharge pondérale et de troubles cardiovasculaires. Des pathologies qui ont des conséquences lourdes sur la longévité de la vie. Au point que le corps médical ne cesse de mettre en garde sur les conséquences négatives que peut avoir une alimentation trop riche en petites « douceurs » de toute sorte et en sodas ou jus de fruits.
Une véritable addiction !
Restreindre sa consommation de sucreries et modifier son comportement alimentaire demandent de véritables efforts, car le fructose est terriblement addictif. Plus nous en ingérons, plus notre cerveau en réclame. Des expériences scientifiques ont montré qu’il stimulait la production d’endorphines, l’hormone du plaisir apportant une sensation de mieux être immédiat. Il possède la propriété de booster notre moral comme notre physique. Il suffit de boire un jus de fruits, de manger un biscuit ou une barre de céréales pour donner l’impression de se sentir mieux très rapidement. Consommer trop d’aliments riches en saccharose, en fructose ou en glucose s’avère toxique pour le métabolisme humain.
Une traque quotidienne
Cet excès de consommation se fait parfois à notre insu. Il apparaît qu’en moyenne, 50 % de notre apport provient d’aliments industriels contenant des sucres cachés. Si on lit attentivement les étiquettes de composition, on en trouve dans les sauces de salades, les soupes, le pain, les légumes en conserve, les biscuits pour l’apéritif, les plats préparés… La saveur sucrée rend plus appétissant ce que nous mangeons. C’est un exhausteur de goût bon marché qui berne nos papilles, mais pas notre organisme. Pour réduire sa consommation de saccharose, fructose ou glucose, il faut jouer les fins limiers dans les rayons de supermarché et renoncer à manger des plats ultratransformés ou assimilés à la « junk food » si peu diététiques. On noue son tablier et on reprend le chemin des fourneaux. Nous serons gagnants en mangeant simple et sain.
Obésité et diabète : les maux de notre assiette
On a vu précédemment qu’une alimentation trop riche en aliments contenant du saccharose ou du fructose était source de prise de poids. Cet excès, finalement assez récent, s’est aussi traduit par une explosion du nombre de personnes souffrant de diabète. Cette maladie survient quand le métabolisme ne régule plus le taux d’insuline. Entre 1970 et 1980, les malades du diabète ont doublé dans l’Hexagone. Notre addiction pour les « douceurs », le soda et la malbouffe se paie très cher.
Comment ne pas être pris au piège ?
Heureusement, nous pouvons changer le cours des choses. On évite certains aliments industriels et on privilégie les plats maison. Et on remplace le sucre blanc par des substituts sains et naturels comme la stévia ou le miel. Attention aux édulcorants de synthèse à base de Stévia ou d’Aspartame… Ainsi, on ne se prive pas d’une gourmandise toujours délicieuse et agréable… Si elle est contrôlée. Une alimentation sans sucrerie inutile est possible avec un peu de discipline et d’organisation.
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